INSTITUT D’ÉTUDES POLITIQUES - Année 2009-2010 — 1er cycle Enjeux politiques de la géographie ’10 Conférence de Patrick Poncet |
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Objectifs de la conférence • Faire acquérir aux élèves un mode de raisonnement sur les questions sociales qui prenne en compte à sa juste place une intelligence moderne de l’espace des sociétés. |
Les Séances |
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Séance 1 3 février 2010 |
Enjeux politiques de la géographie : qu'est-ce à dire ?
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Séance 2 10 février 2010 |
Intelligence spatiale : Quels outils pour l'espace des sociétés ?
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Séance 3 17 férvier 2010 |
Urbanité : Qu'est-ce qu'une ville ?
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Séance 4 24 Février 2010 |
Urbanisme : Comment se fait une ville ? ◊ Le Grand Paris ou la ville à géométrie variable.
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Séance 5 10 mars 2010 |
Des mondes au Monde : Géohistoire du peuplement ◊ Le centre du Monde est-il un réseau ?
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Séance 6 17 mars 2010 |
Ce que internet fait à l'espace : comment lire géographiquement la révolution des télécommunications ? ◊ Google est-il le nouveau maître du Monde ?
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Séance 7 24 mars 2010 |
Interrogration écrite ◊ Le tourisme : les lieux des autres sont-ils aussi les miens ?
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Séance 8 31 mars 2010 |
Géographie, politique, aménagement du territoire : la question sociale de l'accès aux "biens situés". ◊ L'aménagement du territoire est-il un acte "géopolitique" ?
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Séance 9 7 avril 2010 |
Les géographes ont-ils leur mot à dire sur le changement climatique ? ◊ Le sommet de Copenhague fut-il un fiasco ?
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Séance 10 14 avril 2010 |
Le développement durable : une question géographique ? ◊ Le nouveau programme de géographie de classe de seconde est-il durable ?
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Séance 11 21 avril 2010 |
Géographie de terrain : sortie dans Paris
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Séance 12 5 mai 2010 |
Séance de conclusion http://www.dailymotion.com/video/xcu34a_a-quoi-sert-la-geographiey-une-con_news
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L’Évaluation L’évaluation des élèves est fondées sur une moyenne des notes suivantes.
1. Une note d’exposé (une seule note pour les trois intervenants) L’exposé est une compétences centrale dans les études Sciences-po. Il se fait à trois, et dure 25 minutes ; ni plus, ni moins. La note est collective, chaque membre du groupe de travail devant intervenir à l’oral. L’exposé ne doit pas être lu (la lecture sera interdite), seules des notes sous forme de plan détaillé sont autorisées. Tous les exposés doivent être accompagnés d’une présentation assistée par ordinateur (PowerPoint ou Keynote), qui ne doit pas reprendre le plan ou le propos des intervenant, mais doit servir à marquer les grandes idées et à présenter les documents sur lesquels s'appuie l'exposé (les cartes, photographies et graphiques en particulier). L’installation du matériel doit être effectuée avant l’arrivée du professeur.
◊ POURQUOI DES EXPOSÉS ? Donald Arsenault, professeur en sciences de l’éducation à l’Université d’Ottawa, résume l’efficacité des différentes méthodes d’apprentissage de la manière suivante (cité par Jean-Paul Donckèle, dans Oser les pédagogies de groupe. Enseigner autrement afin qu’ils apprennent vraiment, Erasme, 2003) : Nous avons tendance à nous souvenir de : 10% de ce qu’on lit, 20% de ce qu’on entend, 30% de ce qu’on voit, 50% de ce qu’on voit/lit et entend, 70% de ce qu’on dit (participation à une discussion, faire une présentation simple), 90% de ce qu’on fait et de ce qu’on dit (faire un exposé, une expérience, un cours), 95% de ce qu’on réalise en responsabilité (concevoir et exécuter un projet).
◊ QUEL BARÈME POUR QUELS PRINCIPES ? INTELLIGIBILITÉ TECHNIQUES. Faire un exposé suppose de maîtriser les techniques propres de ce media. Il faut savoir parler. Il faut être capable de s’exprimer clairement. Il faut s’assurer que les auditeurs sont à même d’intégrer ce que l’on désir qu’ils intègrent. Il faut savoir utiliser des supports pédagogiques variés. Il ne faut pas en faire trop. Le multimédia peut être un piège si les médias ne sont pas hiérarchisés et agencés avec soin. FORMAT. Medium is message. Cela pour dire que l’information n’existe qu’à partir du moment où elle est transmise, d’une manière ou d’une autre. De ce fait, il n’y a pas de sens à penser séparément le contenu potentiel de l’exposé et le contenu réalisé. Il faut se convaincre du fait que l’exposé est un produit en tant que tel, autonome par rapport à d’autres discours, et qu’il ne sert à rien d’essayer de faire entrer une masse d’information trop importante dans le format d’un exposé. En particulier, il n’est pas concevable de faire un exposé en lisant un texte qui n’aurait été fait que pour être lu.
INTELLIGENCE PROBLÉMATIQUE. Un exposé doit suivre scrupuleusement une problématique claire. Sans doute plus rigoureusement encore qu’à l’écrit. Mais comme à l’écrit, cette problématique doit structurer l’ensemble du propos. Ce point évalue ainsi d’une part la qualité de la problématique, son niveau d’abstraction, de conceptualisation, son ambition. Il évalue d’autre part la continuité de la problématique dans l’exposé, au travers des hypothèses et des réponses jalonnant l’intervention, mais aussi et bien entendu dans la conclusion. DÉMARCHE. La façon dont est menée l’intervention au plan intellectuel est le dernier point clé de l’exposé. Car il s’agit véritablement d’emmener l’auditoire avec soi sur la piste que l’on trace tout au long de l’exposé. Cette piste est formalisée bien entendu dans le plan, qui n’est pas nécessairement organisé en parties hiérarchisés mais peut-être tout aussi efficace en points. Ce plan, de par sa construction, doit servir de repère à l’auditoire, une sorte de carte, de road book.
◊ QUEL CALENDRIER POUR PRÉPARER L’EXPOSÉ ? L’exposé doit être préparé en concertation avec le professeur. Ceci afin d’arriver le jour de l’intervention avec un "produit" dans les grandes lignes et le fond sont validés ; reste à être performant à l’oral. Cette préparation doit suivre sans retards le calendrier suivant : le respect de ce calendrier conditionne la note finale, la qualité du propos étant à la fois un enjeu pour l’élève exposant et pour ses camarades. 3 semaines avant (au minimum) : étude bibliographique préalable (l'élève doit recherche lui même les références bibliographiques ; seules quelques orientations sont données par le professeur s'il y a lieu) et définition de la problématique • 2 semaines avant (au minimum) : proposition de plan version 1 • 1 semaine avant (au minimum) : proposition de plan version 2 • 3 jours avant (au minimum) : envoi et validation du powerpoint. - Attention aux vacances : le travail en groupe est rendu plus difficile !
2. Une note individuelle de compte rendu d’exposé et de modération de débat (5000 signes ±10%)
MODÉRATION DE DÉBAT : Chaque exposé est suivi d’une discussion, complétant le propos sur la base de questions engageant un débat. Un élève préparent des questions-sujets et anime une discussion ouverte à tous ; elle ne doit pas se résumer à des questions posées par le modérateur aux intervenants. La durée de la discussion est de 30 minutes. Le travail de préparation de la discussion est mené par le modérateur comme ils l'entend, et peut procéder d’une collaboration avec les intervenants. Les questions et thèmes structurant la discussion sont envoyés au professeur dans la semaine précédant l’exposé, au plus tard trois jours avant celui-ci. La note finale est une note individuelle, tenant compte principalement de la capacité d’animation de la discussion, ce qui suppose une bonne compréhension du sujet et de ses enjeux sociaux, voire au sein même de la conférence.
COMPTE RENDU : Suite à la discussion autour de l’exposé, chaque modérateur remet, dans un délai d’une semaine, une fiche de synthèse sur l’exposé et la discussion qui l’aura suivi. C’est un travail personnel comptant environ 5000 signes (±10 %, espaces comprises). Il devra être remis par courriel ainsi que sous format papier à la séance suivant l’exposé concerné (ou à défaut dans le casier du professeur au plus tard une semaine après l’exposé).
3. Une note individuelle d'interrogation écrite. Dans l'optique de s'assurer de l'acquisition d'un socle commun et minimal de connaissances et de méthodes géographiques, une interrogation écrite d'une durée d'une heure sera organisée.
4. Une note individuelle de lecture et d’implication dans les travaux de la conférence (appréciation ou dépréciation de la moyenne générale). La participation aux travaux de la conférence fera l’objet d’une évaluation donnant lieu à une notation sous la forme de points en plus ou en moins par rapport à la moyenne générale de l’année. Outre la participation en cours, sera prise en compte la capacité des élèves de répondres à des sollicitations concernant les lectures obligatoires. Cette interrogration sera systématique et aura concerneré in fine tous les étudiants. Sera prise en compte dans cette évaluation l’assiduité de l’élève. Concernant l’assiduité et la ponctualité aux conférences de méthodes, rappelons que : • quant à la ponctualité : il est attendu que les étudiants arrivent à l’heure, en cours magistral comme en conférence de méthode. • quant à l’assiduité : elle est obligatoire et contrôlée, et prise en compte par l’enseignant dans la note finale, pour tous les enseignements qui sont validés par un contrôle continu. Quelle qu’en soit la raison, le nombre total des absences ne peut dépasser 20% du nombre de séances prévues pour chaque enseignement (soit pas plus de trois absences pour les enseignements de 14 séances). Les absences doivent toujours être justifiées. Au-delà de trois absences, l’étudiant est porté “défaillant” pour l’enseignement concerné et cette mention apparaît sur son relevé de notes. Un étudiant considéré “défaillant” dans un ou plusieurs enseignements peut se voir refuser le passage dans l’année supérieure, il peut même ne pas obtenir son diplôme. De trop nombreuses absences peuvent aller jusqu’à la suspension de la scolarité de l’étudiant pour le semestre en cours. • Toutes les séances de conférence de méthode sont obligatoires. • Toute absence est comptabilisée, quel qu’en soit son motif. • Toute absence dont le motif apparaît comme insuffisant au professeur et à la direction de Science-po fait l’objet d’un sanction sur la note d’implication dans les travaux de la conférence. • Toute deuxième absence fait l’objet d’un signalement immédiat auprès de la direction, et d’une convocation de l’élève. • Trois retards sont comptabilisés comme une absence. • L’appel est fait en début de chaque séance ; le professeur se réserve le droit d’accepter ou non un élève retardataire (en cas de refus, il est signalé absent). Précisons enfin que l’usage des ordinateurs portables en conférence n’est autorisé qu’en vue de la prise de notes ; le "chat" (au sein de la conférence ou avec un inetrlocuteur extérieur), le consultation de documents ou de pages web ainsi que toutes activités informatiques sans rapport direct avec la conférence ne sont pas autorisés.
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Des Lectures La bibliographie de référence pour cette conférence n’est pas très étendue. Ceci car l’essentiel de l’approche géographique du social peut se trouver dans un nombre restreint d’ouvrages d’une part, et car nombres d’ouvrages sur le monde contemporain, tenant en général de l’essai, peuvent être lus avec un regard géographique d’autre part. L’essentiel des principes de l’approches géographique se trouve dans le Dictionnaire de la géographie et de l’espace des sociétés, qui peut être considéré comme le manuel de la conférence. On tirera un grand bénéfice à s’y reporter à chaque difficulté rencontrée, en se laissant porter de définitions en définitions au gré des renvois proposés par les auteurs. S’il ne faut acheter qu’un ouvrage, c’est celui-ci ; un livre "durable". • LÉVY Jacques et LUSSAULT Michel (dir.), Dictionnaire de la géographie et de l’espace des sociétés, Paris, Belin, 2003, 1034 p.
Conçu spécialement pour les étudiants de Sciences-po, un petit ouvrage, d’approche facile, fait le point sur l’approche géographique qui y est enseignée au travers de questions de société. Il s’agit là du second "manuel" de la conférence, mettant en scene la pensée géographique contemporaine : • ALLEMAND Sylvain, DAGORN René-éric et VILAÇA Olivier, La géographie contemporaine, coll. Idées reçues, n° 102, Cavalier bleu, 2005, 126 p.
Pour approfondir l’approche géographique, trois ouvrages clés : • LÉVY Jacques, PONCET Patrick, ANDRIEU Dominique, DAGORN René-Éric, DUMONT Marc, HUREL Karine, JARNE Alain, RIPERT Blandine, STOCK Mathis, VILAÇA Olivier, L’invention du Monde. Une géographie de la mondialisation, Paris, Presses de Sciences-Po. 2008, • DURAND Marie-Françoise, LÉVY Jacques, RETAILLÉ Denis, Le monde : espaces et systèmes, Paris, Presses de Sciences-Po, 2e éd. 1993. • LéVY Jacques, Le tournant géographique. Lire l’espace pour penser le Monde, Paris, Belin, Coll. "Mappemonde", 1999.
Les ouvrages d’où sont tirés les lectures obligatoires (cf. le plan des séances) constituent aussi, pris chacun dans son entier, de bonnes bases pour la pensée, et de bons moyens de stimuler la réflexion dans le cadre des études à Sciences Po. On s’y reportera également pour leur bibliographies.
D’autres dictionnaires de géographies peuvent être consultés pour leur fonction première, à l’exception de l’exécrable coup éditorial d’Yves Lacoste, auteur d’un très mauvais dictionnaire de géographie, mais aussi du dictionnaire de Pierre Georges, très "daté" : • BRUNET Roger, FERRAS Robert , THÉRY Hervé (dir.), Les mots de la géographie, Paris, Reclus/La documentation française, 4e éd. 1995. • BEAUD Pascal, BOURGEAT Serge, BRAS Catherine, Dictionnaire de géographie, Paris, Hatier, 1997.
À noter, en vue de cadrer la constitution d’une culture personnelle en sciences sociales, La bibliothèque idéale proposée par la revue Sciences Humaines : • Revue
Sciences Humaines, La bibliothèque
idéale
de sciences humaines, Hors-Série, n°42, septembre-Octobre
2003, 128 p., 7 euros 50.
Ci-après, une liste de références de haut niveau permettant de compléter sa culture géographique (des chapitres sont recommandés en priorité à la lecture, mais les ouvrages peuvent bien sûr être lus intégralement) : • ASHER François, Les nouveaux principes de l’urbanisme. La fin des villes n’est pas à l’ordre du jour, éditions de l’aube, 2001, 104 p. • BEAUD Stéphane, "Quatre copains à la fac", (2e partie), 80% au bac… et après. Les enfants de la démocratisation scolaire. Paris, La découverte, 2002, p. 141-214. • BADIE Bertrand, “ De la recomposition ” (chapitre 8), La fin des territoires, Paris, Fayard, 1995, pp. 214-252. • BRUNET Roger, “ De la production à l’organisation de l’espace ” (partie de “ Défrichement du Monde ”), in R. Brunet (dir.), Géographie Universelle, t. 1 “ Mondes Nouveaux ”, Paris, Hachette/Reclus, 1990, p. 12-75. • COHEN Daniel, Richesse du monde, pauvreté des nations, Paris, Flammarion, coll. "Champs", 1997, 167 p. • DOLLFUS Olivier, “ Présentation du Monde ” (partie de “ Système Monde ”), in R. Brunet (dir.), Géographie Universelle (t. 1), “ Mondes Nouveaux ”, Paris, Hachette/Reclus, 1990, p. 273-307. • DOLLFUS Olivier, GRATALOUP Christian, LÉVY Jacques, "Le Monde : pluriel et singulier", GEMDEV, Mondialisation. Les mots et les choses, Paris, Karthala, 1999, pp. 81-120. • DURAND Marie-Françoise, LéVY Jacques, RETAILLé Denis, "Vers la société-monde ?" (chapitre 4), Le monde : espaces et systèmes, Paris, Presses de Sciences-Po, 2e éd. 1993, p. 191-247. • FERRY Jean-Marc, "L’état supranational : mythes et limites" (chapitre premier), La question de l’état européen, Paris, Gallimard, coll. "NRF essais", 2000 p. 41-85. • HABERMAS Jürgen, "Tirer la leçon des catastrophes ? Rétrospective et diagnostic d’un siècle écourté", Après l’Etat-nation. Une constellation politique, Paris, Fayard, 2000, p. 13-39. • HALL Edward T., La dimension cachée, Paris, éditions du Seuil, 1971 (1966). • KNAFOU Rémy, “ Le Monde en ses réseaux ”, in R. Brunet (dir.), Géographie Universelle (t.1), “ Mondes Nouveaux ”, Paris, Hachette/Reclus, 1990, p. 400-443. • LE BRAS Hervé, "Les lois du mouvement" (chapitre 4), "Les grandes invasions" (chapitre 5), "La souche introuvable" (chapitre 6), Essai de géométrie sociale, Paris Odile Jacob, 2000, p. 107-162. • LÉVY Jacques, “ Il y a du Monde ici ” (chapitre 13), Le tournant géographique. Lire l’espace pour penser le Monde, Paris, Belin, Coll. "Mappemonde", 1999, p. 329-370. • LÉVY Jacques, “Construire, disent-ils ” (chapitre 8), Europe, une géographie, Paris, Hachette, Coll. "Carré géographie ", 1997, p. 203-243. • LÉVY Jacques, "La ville, un concept" (chapitre 10) & "Des citadins contre la ville" (chapitre 11), L’espace légitime. Sur la dimension géographique de l’espace légitmime, Paris, Presses de la fondation nationale des sciences politiques, 1994, p. 203-243. • POSTEL-VINAY Karoline, “ La transformation spatiale des relations internationales ”, in SMOUTS M-C (dir.), Les nouvelles relations internationales, Paris, Presses de Sciences Po, 1992, p. 297-360. • POSTEL-VINAY Karoline, L’Occident et sa bonne parole. Nos représentations du monde, de l’Europe coloniale à l’Amérique hégémonique , Paris, Flammarion, 2005, 221 p. • RETAILLÉ Denis, "La vérité des cartes", Le débat, n°92, nov.déc. 1996, p. 87-98.
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